Lustmord

Lustmord est le projet du britannique Brian Williams, en activité depuis le début des années 80. C'est une des figures importantes du Dark Ambient, si on s’intéresse au genre on en a forcément déjà entendu parler.
Je sais que Aenimal connaît des albums et apprécie, ce qui n'est pas mon cas. J'ai toujours trouvé le projet trop... ambiant justement. Il y a bien peu de structures ou rythmiques sur lesquelles se raccrocher. Malgré cela les ambiances sont souvent très terrifiantes, noires et cosmiques (surtout sur les albums du début des 90's).

Toutefois, le nouvel album qui vient de sortir, The Word As Power, semble contenir plus de choeurs, ce qui peut être un point d'accroche. Je vais l'écouter avec attention mais cet extrait m'a déjà convaincu :



Les albums majeurs de la disco comme Heresy, The Place Where The Black Stars Hang ou encore Carbon/Core sont en écoute sur Grooveshark.
Disco complète : http://rateyourmusic.com/artist/lustmord

Je sais que Aenimal connaît des albums et apprécie, ce qui n'est pas mon cas.

Je vais fortement nuancer Je connais que 2 albums :
- Heresy, que j'aime bien, mais que je trouve long,
- The place where the black stars hang, et j'y accroche pas (trop "ambiant", comme tu dis )

j'ai écouté le dernier finalement. et c'était looooooong. c'est bien beau de mettres des choeurs mais si c'est pour les répéter pendant 17 minutes...

par contre Metavoid me semble bien plus intéressant : le premier morceau avec ses voix robotiques est juste sensationnel. le reste est plus varié et moins "ambiant" finalement, mais j'accroche pas spécialement.
http://grooveshark.com/#!/s/The+Ambivalent+Abyss/3tnTHu?src=5

d'ailleurs il m'a fait penser à ça :

c'est bien beau de mettres des choeurs mais si c'est pour les répéter pendant 17 minutes...

Peut-être pour rentrer dans un état de "trance shamanique"? ça collerait bien avec l'idée que je me fais de sa musique, qu'il convient d'écouter dans des " conditions appropriées".

Les images du clip que tu as posté plus haut son celles du clip de " The host of seraphim" de DEAD CAN DANCE (tirées du film Baraka (1992), dans lequel le morceau apparaît).

Ouais, bah je plussoie le diagnostic, c'est... très très ambiant